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Avant l’ouverture à Saint-Jean-de-Védas, dans un an, les dirigeants du groupe Cap santé font le point sur ce dossier.
Dans un an, la clinique Saint-Jean déménagera de Boutonnet, où elle avait vu le jour en 1956, à Saint-Jean-de-Védas. La fin des travaux est prévue en décembre 2019 et l’ouverture en mars-avril 2020. Lamine Gharbi, président du groupe Cap santé, et Laurent Ramon, directeur général du groupe et de la clinique Saint-Jean, font le point sur ce dossier.
Quand avez-vous lancé ce projet ?
En 2012. C’est l’aboutissement d’une longue réflexion. Aujourd’hui, ce n’est plus un projet mais une réalité. Il sera constitué de deux pôles : d’une part la clinique proprement dite, un bâtiment en forme de chromosome, avec deux entrées, dont la principale côté parking, et d’autre part le pôle médical ; tous les deux reliés par une passerelle. On est en train d’acquérir quatre hectares de réserve foncière en bordure du site pour une future extension ou la construction d’un centre de rééducation. On est ouvert à toutes possibilités. C’est à l’image de ce groupe qui a été bâti avec un fil directeur mais sans faire de plan. Nous sommes certes un groupe privé à un but lucratif mais on accueille tout le monde. Le terrain est devenu constructible parce que nous avions un projet d’utilité publique.
Sur quoi allez-vous mettre l’accent ?
Déjà, nous voulons soigner l’accueil. Le hall de 1 087 m² aura par endroits une hauteur de 17 m, ce qui permettra de mettre des palmiers. On souhaite s’approcher du zéro attente, ainsi que du zéro douleur et du zéro papier. Les patients adultes qui le voudront pourront être équipés de bracelets afin de mieux suivre leur prise en charge.
Nos médecins spécialistes et nos chirurgiens disséminés en ville ont tous adhéré au projet. Ils ont créé leur pôle de consultations et sont propriétaires de leurs murs. Ce qui m’intéresse, ce n’est pas de louer des m². Je préfère avoir des bons spécialistes qui travaillent sereinement et qui sont exclusivement présents à la clinique Saint-Jean. Nous sommes leurs partenaires, puisque nous avons une réserve foncière de près de 800 m² dans ce pôle. On y trouvera un laboratoire d’analyses médicales et un plateau technique h24, un pôle imagerie avec scanner et on l’espère IRM. Il y aura aussi une aile dialyse.
La clinique Saint-Jean, c’est aussi
● ROBOTIQUE
Depuis deux mois, la clinique Saint-Jean est le seul établissement de l’Hérault doté du robot Mako. Il assiste les chirurgiens orthopédiques lors d’opérations du genou et bientôt de la hanche.
● PÉDIAPÔLE
Créé il y a vingt-cinq ans pour la chirurgie, le pédiapôle se caractérise par la présence chaque jour d’un pédiatre aux urgences de la clinique Saint-Jean. Un chirurgien et un médecin anesthésiste sont aussi présents.
● CERTIFICATION
La clinique Saint-Jean est certifiée ISO 9001 pour le parcours patient en ambulatoire. « Cela garantit une prise en charge toujours identique et de qualité au patient, quelle que soit la personne ou l’établissement qui le prenne en charge, explique Lamine Gharbi. La clinique est aussi certifiée V4/Catégorie À part la Haute autorité de santé. A terme, nous aurons huit certifications communes à l’échelle du groupe. »
● FORMATION
Des médecins sont formés par Cap santé, grâce à des partenariats avec la faculté de médecine. « On monte des projets pédagogiques qui sont validés par la faculté, explique Laurent Ramon. 9 internes se forment en permanence chez nous pour un total de 21 internes formés par le privé dans la région », souligne Laurent Ramon.
● RECHERCHE
148 inclusions (essais cliniques) sont actuellement portées par les cliniques Saint-Jean et Saint-Louis. De 2014 à 2017, 50 publications rédigées par les médecins ont été validées.
● CLASSEMENT
Sur 1400 établissements de santé en France, la clinique Saint-Jean est bien classée par le magazine Le Point : 5e pour l’épaule, 10e pour les ligaments du genou, 12e pour le strabisme, 15e pour l’appendicite, 16e pour la cheville, 18e pour le pied…
Et pour les conférences ?
Nous allons ériger un centre de conférences pour 600 000 €. Il s’agira d’un amphithéâtre de 140 places.
Êtes-vous propriétaire des murs de la clinique ?
Oui, nous souhaitons maîtriser le foncier, comme c’est le cas pour presque tous nos établissements. À Saint-Jean-de-Védas, nous sommes financés par un pool bancaire de six établissements.
Que va devenir l’actuelle clinique ?
Bouygues est le nouveau propriétaire et a déposé un permis de construire pour 140 logements. Mais nous restons en ville, puisqu’un accueil médical de jour sera ouvert de 8 h à 20 h avec un petit pôle de biologie et de radiologie.
Avez-vous d’autres projets ?
Oui, à Ganges, nous reconstruisons la clinique Saint-Louis sur un nouveau terrain. C’est un projet de 20 M€. Du côté de Pézenas, nous rachetons deux sociétés de taxis-ambulances, c’est une première pour le groupe. Il faut compter une quinzaine d’agréments de plus de 100 000 € chacun. Nous lançons aussi une expérimentation de télémédecine au niveau du groupe pour six, huit8 mois, avec une trentaine de médecins. Enfin, nous voulons nous structurer en groupement hospitalier de territoire. Le privé en a été exclu mais je ne vois pas pourquoi, car nous rendons le même service que le public.
En chiffres
La clinique Saint-Jean 2
Surface : 35 000 m2 dont 27 000 pour la clinique et 8 000 pour le pôle médical Lits : 268, extensible à 367 Médecins : 215 Passages aux urgences : 50 000 (contre 25 000 aujourd’hui) Blocs opératoires : 25 puis 35 vers 2025 (contre 17 aujourd’hui) Places de parking : 450 (contre 42 aujourd’hui) Budget : 105 M€ dont 85 de travaux et 20 pour le pôle médical Accessibilité : autoroutes A 709 et A 75, tramway (ligne 2).
Saint-Jean aujourd’hui
Médical : 183 chirurgiens, anesthésistes, médecins Blocs opératoires : 17 (« unique à Montpellier sur un même site ») Urgences : 22 000 par an, dont 9 500 enfants (« la troisième structure privée de la ville ») Hospitalisations : 26 000 patients dont 17 000 en ambulatoire et plus de 3 500 enfants.
Le groupe Cap santé Établissements : 17 Médical : 300 médecins Capacité : 800 lits et places Emploi : 1 300 salariés Patients : 130 000 Urgences : 75 000 passages Ehpad : 200 résidants Chiffre d’affaires : 85 M€.
Le film présenté par Hyper U Coeur Lozère lors de l’inauguration, une réussite… a l’image de la soirée, de toute l’équipe d’Hyper U Coeur Lozère et de la construction de l’extension (on espère)!!
Un grand merci pour votre présence ou vos pensées à l’occasion de l’inauguration d’Hyper U Coeur Lozère ce mardi soir.Vous trouverez ci-dessous le Film projeté à l’occasion de cette soirée.A bientôt,Toute l’équipe d’Hyper U Coeur Lozère
Le centre accueillera une quarantaine de personnes handicapées, et devrait créer autant d’emplois
Article la montagne
Publié le 29/10/2018
C’est une première pierre toute symbolique, puisqu’elle arrive en cours de chantier. Le foyer de vie de Boisset avance bien, et devrait être terminé en septembre 2019.
La foule est impressionnante pour une cérémonie de ce type : plus d’une centaine de Boissetois et Boissetoises se sont dépêchés pour saluer l’avancée des travaux et découvrir la première pierre, encastrée en cours de chantier dans ce qui sera, en septembre, la porte principale du foyer de vie Saint-Nicolas de Boisset.
De la vie et des emplois
Ce chantier concerne toute la commune de 600 habitants. C’est là qu’arriveront, en fin d’année prochaine, une quarantaine de personnes souffrant d’un handicap mental, des personnes qui éviteront ainsi l’hôpital psychiatrique pour une vie au grand air. Une prise en charge qui se veut inclusive, où les habitants ont leur rôle à jouer, en les accueillant.
De ce côté-là, le maire Sandrine Cassan n’a pas de doute : cela marchera. Pour ce projet de plus de cinq millions d’euros, la commune a offert le terrain, l’a viabilisé. Pour le reste, « je sais pouvoir compter sur l’accueil et l’intégration des habitants. Cela fait partie de l’ADN des Boissetois. »
D’autant que tout le monde y gagne. Le réseau de chaleur bois du foyer de vie profitera à la piscine de la commune, les menus seront communs avec ceux de la cantine de l’école, il y aura également une permanence médicale et paramédicale pour les habitants. Enfin, avec les 40 personnes accueillies, autant d’emplois seront créés. « C’est le projet de tous les records. Jamais autant d’emplois n’avaient été créés, jamais un partenaire privé n’aura engagé une telle somme… »
Le partenaire privé, c’est l’association les Foyers de Saint-Nicolas, installée en Lozère. Elle a répondu à un appel d’offres du Conseil départemental, en 2016, un dossier qui se concrétise aujourd’hui avec cette pierre venue tout droit de Langogne, en pierre de Lozère, qui marque la création du neuvième foyer de vie de l’association, le premier dans le Cantal. Un gros dossier, « une lourde responsabilité, explique la présidente Aline Leroy. C’est beaucoup d’années de travail acharné, de doutes, d’hésitations. »
Mais aujourd’hui, tous saluent ce projet. La communauté de communes s’est portée garante pour les emprunts, lourds, à réaliser, de même que le Conseil départemental. « C’est une opération qui fera référence dans le Cantal », ose même le sénateur Bernard Delcros. Un constat partagé par toute l’assemblée, vendredi, à Boisset. Et ils étaient nombreux à la composer.
Pierre Chambaud
Lien de l’article : https://www.lamontagne.fr/boisset/vie-pratique-consommation/2018/10/29/le-centre-accueillera-une-quarantaine-de-personnes-handicapees-et-devrait-creer-autant-demplois_13033756.html
Toute l’équipe de Bonnet & Teissier Architectes vous souhaite une heureuse et belle année 2018.
Ce lundi 20 novembre, une visite de chantier était organisée dans les locaux du foyer d’accueil médicalisé (FAM) Lucien Robert afin de faire un point sur l’avancée des travaux du foyer de vie « Les Glycines ».
L’occasion pour Jean-François Galliard, président du conseil départemental, et Dominique Roure, ancien directeur académique des services de l’Éducation nationale (Dasen), nouveau président des PEP 12 depuis le mois de juillet, de juger de la cohérence d’un projet réfléchi globalement et rationnellement. En effet, créée en 1986, la maison du foyer des Glycines ne pouvait plus accueillir confortablement l’ensemble de ses résidents pour des raisons d’intimité, d’accessibilité et de coûts de fonctionnement. Dès lors, sa reconstruction fut envisagée sur la parcelle attenante au Fam, inauguré en 2012.
La construction qui couvrira 1 400 m2 est aujourd’hui bien avancée. Elle sera accompagnée d’un agrandissement de la buanderie des deux établissements du site, ainsi que de la création d’une cuisine centrale, afin de préparer les repas du Fam, du foyer de vie, mais également des deux IME de Saint-Laurent et La Roquette, ce qui permettra de réaliser des économies d’échelle tout en respectant les normes d’hygiène et en favorisant les circuits courts. Cette reconstruction se déroule tout en assurant la continuité de service pour que l’accueil et les activités des résidents soient poursuivis dans les meilleures conditions.
Rappelons que le foyer de vie Les Glycines, qui accueille, aujourd’hui, dix-huit résidents âgés de 20 à plus de 60 ans, est né de l’idée de proposer à des jeunes sortant de l’IME La Roquette une solution d’hébergement et d’activités adaptés à leurs besoins. Cette reconfiguration permettra dès lors de répondre à plusieurs objectifs, tels améliorer l’accessibilité, respecter l’intimité, faciliter l’accès aux soins, développer les rapports avec les familles, offrir un lieu de vie plus repérant, renforcer la sécurité des locaux, assurer de meilleures conditions de travail pour les personnels, développer l’intégration dans le tissu social, maintenir l’attractivité du foyer et réduire les coûts tout en garantissant la qualité de service. Le foyer de vie devrait être opérationnel samedi 1er septembre 2018.
Article sur l’Espace Evènements Georges Frêche
Le magasine Vmzinc parle de nous et de l’EGF et de sa habillage en Zinc Azingar